La petite carte verte va-t-elle utiliser les caractéristiques propres à chacun pour lutter contre la fraude sociale?
C’est en tout cas le sujet qui a été évoqué par nos sénateurs Français.
Aujourd’hui, la fraude sociale en France est un réel problème économique qui entraine plusieurs milliards d’euros de perte par an.
Nous ne serions pas les premiers en la matière puisque que nos voisins Belges ont déjà adopté la biométrie en jumelant la carte vitale avec la carte d’identité biométrique en une seule et même carte. Cela permet ainsi de vérifier l’identité de la personne à l’aide des empreintes digitales tout en s’assurant de manière certaine que la carte n’est pas usurpée.
A l’heure actuelle, cette proposition de loi a été rejetée, notamment à cause de son coût de mise en place (augmentation du prix de la carte). Mais peut-on se passer d’un investissement de plusieurs millions d’euros qui permettrait d’anéantir une fraude s’élevant à plusieurs milliards ? C’est la question que l’on peut se poser et qui est posée dans les instances politiques du pays.
Nos passeports sont déjà biométriques, et pourquoi pas notre carte vitale ?
Rappelons également que la France dispose de moyens forts à l’intérieur même de son territoire avec notamment la présence de la société IDEMIA, leader mondial sur le marché de la sécurité biométrique, qui propose des technologies biométriques novatrices comme le sans contact qu’offre leur lecteur MorphoWave Compact avec la capture en moins d’une seconde de vos quatre empreintes digitales à la volée.